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Étiquette : ingénieur

Assystem. Reconvertir ses ingénieurs en cas de crise.

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Assystem est un des leaders du conseil aux industriels.

300 de ces ingénieurs étaient dédiés à des missions chez Renault. Or le constructeur automobile a décidé -en décembre dernier- de supprimer ces prestations outsourcées.

Résultat : Assystem doit réintégrer ces 300 ingénieurs.

Le plan est de les reconvertir sur l’un des 3 autres métiers du groupe : ferroviaire, aéronautique, nucléaire.

C’est la lourde tâche qui attend le centre de formation interne « Assystem Nuclear Institute » où des experts de l’entreprise transmettent leur savoir-faire lors de stage de 6 à 10 semaines.

100 ingénieurs ont déjà bénéficié de ces formations en janvier.

En mars, une autre centaine commence de nouvelles formations, en alternance avec chômage partiel. Des formations, notamment, d’ingénieur commercial, gestionnaire de projet

Les secteurs qui recrutent.

L’informatique, l’audit et l’énergie sont des secteurs qui recrutent en 2008.

– Informatique :

Le taux de chômage est quatre fois inférieur à la moyenne nationale.

En 2007, les chefs de projet informatique ont fait partie des plus fortes progressions salariales, tous métiers confondus (+15%) selon l’enquête annuel Expectra.

Les ingénieurs, commerciaux ou consultants sont sollicités, donc très mobiles. Le turnover dépasse les 15 %.

La moyenne d’âge des salariés est inférieure à 35 ans.

– Audit :

C’est le deuxième recruteur de cadres en France.

En 2008, la croissance du marché du marché de l’audit et du conseil devrait être de 9% (13% en 2007).

Des consultants en Administration Gestion, droit, fiscalité et Ressources Humaines sont recherchés.

Les actuaires sont les profils les plus demandés. Ils élaborent produits financiers et assurances.

L’audit connait aussi un turnover important. Les grands cabinets s’ouvrent maintenant plus naturellement aux profils universitaires et cherchent même à attirer les profils littéraires et sciences humaines.

– Energie.

Avec l’augmentation du prix du pétrole et de la demande, il y a une explosion de projets.

1000 cadres vont être recrutés en 2008 dans l’éolien.

Côté énergies renouvelables, la filière éolien devrait passer de 6000 à 60 000 emplois (dont 65% de cadres) d’ici à 2020.

Les ingénieurs représentent 70 à 80% des recrutements, mais les commerciaux ont leur place.

Alors qu’on ne parle que du chômage, qui devrait sévèrement augmenter dans les prochains mois, prenez le temps de bien choisir votre entreprise et votre secteur d’activité !

Source le point.fr

Travailler en Australie.

drapeau Australie

Avec un taux de chômage entre 3,5 et 4%, l’Australie est plus que jamais un pays d’accueil.

Le pays recrute dans l’ingénierie, la finance, la comptabilité, la santé et l’éducation.

Mais coiffeurs et cuisiniers ont aussi très recherchés. Il faut consulter The Migration Occupations in Demand List (MODL) sur www.immi.gov.au. Il y a environ 200 000 emplois vacants, à tous les niveaux de qualifiaction, des ingénieurs aux travailleurs manuels qualifiés.

Pour travailler sur place, plusieurs formules: soit être parrainé par une entreprise-donc embauché avant de partir; soit postuler à un skilled visa, sous réserve de remplir les critères d’âge, de langue, d’expérience et de santé…

Avec un quota d’environ 100 000 immigrés par an, ne vous attendez pas à être attendu ! Surtout que les français ne partent pas forcément favoris: « Dans la santé, on recrute plutôt des angloSaxons. En revanche, les ingénieurs français sont très bien placés dans le management de projet ».

Quelques sites utiles:

Agence pour l’emploi australienne (équivalent de l’ANPE):
http://www.workplace.gov.au
Chambre de Commerce et d’Industrie Franco-Australienne:
http://www.ccife.org/australie (Cf: job opportunities)
Mission Economique française:
http://www.missioneco.org/australie

Enfin, ce site généraliste sur l’Australie, vous sera très utile  http://www.guide-australie.com

Thales. Recherche des jeunes diplômés.

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Thales prévoit de recruter 2500 personnes en CDI pour 2009, dont 2000 cadres, dont 1500 jeunes diplômés.

Thales recherche surtout des ingénieurs de « grandes écoles ». Ces ingénieurs, Thales les repére pendant leur stage (2000 stagiaires par an) ou apprentissage (1000 apprentis en 2008).

Le groupe fait aussi travailler 150 thésards dans des domaines scientifiques et technologiques de pointe.

Thales a un site emploi plutôt bien construit. Ses atouts apparants :

– Des technologies complexes, attractives pour les scientifiques.

– Des opportunités à l’international (600 expatriés et 300 VIE). Il y a même un programme de mobilité internationale réservé aux jeunes diplômés Career1st.

Une entreprise qui n’en fait pas de « trop » question Marketing Recrutement et qui mérite l’attention des jeunes diplômés.

Vinci. Premier recruteur de France.

vinci

Vinci arrive au top du palmarès des enteprises qui recrutent, publié par « Le Figaro ».

L’entreprise prévoit de recruter 12000 personnes en CDI dont 2000 cadres, dont 1000 jeunes diplômés.

Vinci a besoin d’ingénieurs d’études, conducteurs de travaux, chefs de chantier (…) et peine à les recruter !

Pourtant l’entreprise est très active auprès des lycées et écoles pour faire connaitre les métiers.

Vinci va aussi chercher des jeunes dans les quartiers dits « difficiles » pour les former à ses métiers via des centres spécialisés.

Pour faire face à la pénurie, parait-il que Vinci est même allé jusqu’à convaincre des apprentis pâtissiers au chômage de venir se former aux techniques du BTP !

Pour voir les opportunités proposées par le numéro un mondial du BTP : carrières vinci

Siemens. Recrute des ingénieurs à la maternelle.

siemens 

La pénurie d’ingénieurs est telle en Allemagne, que les grands groupes comme Siemens courtisent les maternelles.

Siemens a ainsi distribué gratuitement 3000 kits « découverte » à l’intention des 3-6 ans, et assure la formation des instituteurs.

Pourquoi viser les maternelle ?

Pour préparer le futur de Siemens en suscitant des vocations vers les métiers scientifiques très tot. La curiosité des enfants est infinie à cet âge…

Que contient ce Kit ?

Des expériences scientifiques à réaliser avec les instituteurs et des fiches pédagogiques. Chaque kit revient à 500 euros.

Ses inititatives se poursuivent dans le secondaire puisque Siemens, par le biais de son programme mondial « génération 21 », fournit du matériel d’enseignement et coopére avec des écoles et des université à travers le monde pour s’adresser aux nouvelles générations.

En France, on éspère que l’éducation nationale est prête à réserver un bon acceuil à des initiatives comme celles là. Le métier d’ingénieur est aussi en baisse d’attractivité, alors que les besoins ne cessent de croitre.

Siemens, en offrant une approche moderne et ludique des matières scientifiques, parviendra sûrement à susciter de l’intérêt, et donc des vocations, c’est tout le secteur scientifique qui en bénéficiera.

Source  Usine Nouvelle.com

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